« […] Au-delà de la reproduction fautive d'un dépôt de plainte, dont on peut lire sans mal qu'il concerne […] directement malgré la faible précaution de biffer de noir son nom et adresse, l'article susvisé contient des accusations et allégations qui portent très gravement atteintes à l'honneur, au nom et à la réputation de mes clients. Il s'agit plus exactement d'un réel règlement de compte à l'égard de mes clients parfaitement inacceptable.
« Au visa des dispositions notamment de l'article 29 alinéa 1^er de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse – et de toute disposition supplétive – je vous mets en demeure de supprimer à réception l'article susvisé […] que vous éditez et dont vous êtes responsable que de tout support physique et digital existant.
« Et ce, sous réserve de toute action et demande de dommages et intérêts que mes clients se réservent le droit d'engager dans les prochains jours et pour lesquelles j'ai d'ores et déjà reçu mandat.
« Au surplus, il est flagrant que […] abuse tout autant de son statut professionnel d'Avocat, que de son pouvoir de rédacteur et d'éditeur de contenu en ligne, pour faire pression, intimider et porter atteinte à mes clientes et en cela contrevient très gravement aux principes essentiels de la profession d'Avocat. En conséquence, mes clients saisiront l'Ordre du Barreau de Paris afin de faire état de cette situation.
« La présente mise en demeure par courriel est exécutable dès son envoi et sera doublée le lundi 31 octobre d'un courrier recommandé avec avis de réception […] »

NDLR : L’article ne fait que relater des faits, convocation et courriel de l’APJ à l’appui tant cela dépasse tout entendement.