Hommage posthume à Jean-Loup Dabadie (1938-2020) à l’initiative de la chanteuse Clarika qui, pour la circonstance, s’est adjointe le concours de deux autres groupies amoureux inconditionnels — la chanteuse Amandine Maissiat et le comédien-metteur en scène Emmanuel Noblet — du scénariste-dialoguiste-auteur, intronisé académicien en 2008, qui a marqué les années 70 et 80 avec ses chansons indémodables (Rêves immoraux, Femmes je vous aime, J’ai épousé une ombre, Lettre à France, Ma préférence, Partir, Tous les bateaux tous les oiseaux,…) et ses films que l’on ne se lasse pas de voir et revoir lorsqu’ils passent sur le petit écran (Les choses de la vie, Un éléphant ça trompe énormément, Max et les ferrailleurs, César et Rosalie, Nous irons tous au paradis,…).

Les tableaux se succèdent, derrière et devant un rideau blanc qui finira perpendiculaire à l’axe, sans réel fil conducteur de l’œuvre du virtuose touche-à-tout mais l’ensemble est toutefois fort plaisant et les anciens ont parfois quelques larmes aux yeux.