Bluffant de bout en bout sur tous les chapitres que compte son spectacle et totalement scotché viscéralement à deux ou trois cents degrés pour tenter de découvrir ou d’entr’apercevoir les prémices de ce qui — nous en sommes persuadés — ne peut en définitive être qu’une supercherie pour débiles ou moins de dix ans, les quatre yeux de LexTimes doivent humblement confesser et reconnaître leur total désarroi de n’avoir absolument rien vu ni entr'aperçu — y compris lorsqu’il déchire minutieusement, en mille et un morceaux, un exemplaire du Canard qu’il « recolle » ensuite aussitôt, comme par enchantement, en un geste enfantin et désarmant — et d’avoir effectivement été roulés dans la farine tant le bougre, un vrai « gentleman magicien-mentaliste » très bien fait de sa personne, a une telle « dextérité à faire virevolter les cartes » et une « rapidité d’exécution » hors du commun des mortels.

Inutile donc d’y aller pour essayer de découvrir ce qui nous a échappé, allez-y plutôt juste pour le plaisir.