Livres : Chronique d’une docteure en droit

Chronique d'une docteure en droit. Comment j'ai survécu à ma thèse

La dernière en date d’une série qui a déjà vu celle d’un élève-avocat, d’un étudiant, d’un maître de conférences, d’une jeune avocate et d’une élève-magistrate, cette Chronique d’une docteure en droit ou Comme j’ai survécu à ma thèse va vous accompagner durant vos trois ou cinq années voire davantage de vie de doctorant et vous apprendre quelques petits trucs et astuces pour bien débuter votre thèse (évaluer ses perspectives et se fixer des objectifs, choisir son directeur de thèse, choisir son sujet, trouver son financement et survivre aux formalités administratives), devenir un enseignant et un chercheur, soutenir votre thèse,… et redescendre sur terre.

À s’en tenir au seul sommaire de cette Chronique d’une docteure en droitChronique d’une docteure en droit. Comment j’ai survécu à ma thèse, Alexandrine Guillaume, préface de Jean-Christophe Pagnucco et postface de Fanny Rogue, Enrick B. Éditions, Paris, janv. 2018, 182 p., 14,95 €., Alexandrine Guillaume — qui a échoué à l’examen d’entrée au CFRPA et ne doit, selon son amie et condisciple Fanny Rogue qui signe la postface de cet ouvrage, son titre d’avocate qu’à celui de docteure en droit — est tout simplement une véritable miraculée dont la béatification n’est nullement à exclure, elle qui nous dit avoir survécu aux formalités administratives (p. 59), survécu à un service d’ATER (p. 101), survécu aux lourdeurs administratives (p. 131), survécu à sa soutenance (p. 159) et, enfin, a survécu… aux jours qui suivent (p. 169), aux mois qui suivent (p. 171) et aux années qui suivent (p. 175).

Trêve de plaisanteries, si vous envisagez de vous engager dans cette voie en septembre prochain, la lecture de cet opuscule ne pourra que vous faire gagner du temps et éviter certains déboires.